Dans un état d'agitation extrême, il rentra chez lui avec la viole d'amour. Il la posa sur la table, à côté du pain, et la contempla comme s'il se trouvait face à un objet de culte. Avec le doigt, il fit sonner les cordes et une sonorité cristalline se propagea comme une fumée d'encens...
domenica 22 giugno 2008
Chrétien Urhan (1790-1845)
HERVÉ MESTRON, La passion selon Urhan
Éditions Symétrie, Lyon 2005 [180 p.]
Ce fut une sorte d'illumination. Urhan lui trouva toutes les qualités jamais réunies sur un seul violon. Il existait certainement peu de répertoire pour la viole d'amour. Qu'importe, Chrétien eut envie de tout savoir, de tout connaître soudain, d'en faire son bâton de
pèlerin.
Dans un état d'agitation extrême, il rentra chez lui avec la viole d'amour. Il la posa sur la table, à côté du pain, et la contempla comme s'il se trouvait face à un objet de culte. Avec le doigt, il fit sonner les cordes et une sonorité cristalline se propagea comme une fumée d'encens...
Dans un état d'agitation extrême, il rentra chez lui avec la viole d'amour. Il la posa sur la table, à côté du pain, et la contempla comme s'il se trouvait face à un objet de culte. Avec le doigt, il fit sonner les cordes et une sonorité cristalline se propagea comme une fumée d'encens...
Iscriviti a:
Commenti sul post (Atom)
Nessun commento:
Posta un commento